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Texte à méditer : Si tous les gars du monde voulaient se donner la main...
Photos - Expédition S.O.T.A. : Sommet Pelat F AM-079 -14 juillet 2011
Sommet Pelat F AM-079 -14 juillet 2011(15 photos)
F/AM-079 - Le Mont Pelat - 3051 m.
SOTA juillet 2011 d’ON7ZC Pierre.
Le SOTA suivant sera rapidement décidé et prévu pour le jeudi 14 juillet : le sommet du Mont Pelat à 3051 m : référence F/AM-079 et rapportant 10 points.
Contrairement à la montagne de Cordoeil qui était une « première », trois OM’s français ont à ce jour activé ce sommet.
Cette fois mon épouse Véronique m’accompagnera.
Départ en voiture du camping vers 08H00 en direction du Lac d’Allos à 2100 m d’altitude.
La voiture sera stationnée sur le parking e la cabane forestière du lac.
Dénivelé prévu : 950 m, soit +- 3H30 d’ascension.
Le début de la randonnée est assez aisé à travers une partie du magnifique et grandiose Parc du Mercantour. La deuxième moitié s’avère plus difficile de par la déclivité et très exposée au soleil … nous sommes partis un peu tard !
Heureusement la température descend au fur et à mesure que nous montons et un léger vent rais nous fait du bien.
Chacun son rythme de marche, c’est la règle ! J’atteindrai le sommet vers 12H30 et Véronique m’y rejoint 15 minutes plus tard : bravo Véro !!
Environ 10 randonneurs avaient déjà atteint le sommet et s’alimentaient assis mais de façon inconfortable : en effet le sommet réel (3051 m) est très étroit, +ou- 10 m de long sur 1 m de large… il et donc impossible de planter un dipôle de 2 X 10 m ! De plus d’autres randonneurs pouvaient encore arriver.
Avec le mât (replié) de 1,5 m « planté » verticalement dans le sac à dos j’avais vraiment l’air d’un extra-terrestre au sommet du Pelat ! … Les questions des randonneurs fusent … je tente d’y répondre, je perds du temps, je dois me décider, j’ai faim je dois manger.
Impossible de manger assis, trop étroit, je dépose le sac à dos, veille à ne rien laisser « tomber » dans les pentes à 60 degrés de part et d’autre du « perchoir ».
J’engouffre rapidement quelques « barres énergétiques » accompagné de Véro, elle aussi debout.
Je photographie mon GPS de poignet indiquant 3051 m, mais je choisis le mauvais écran et oublie d’afficher les coordonnées du lieu… Tant pis !)
Je prendrai la décision d’installer le dipôle et la station 20 m en contrebas du « perchoir » afin de ne gêner personne et ne pas mettre en péril la sécurité des randonneurs atteignant le sommet.
Je parviendrai non sans mal à planter le mât dans un « Kern », sans utiliser les 2 petits haubans prévus : tant mieux c’est déjà assez périlleux !!
J’installe le TX, les Lipo’s t le régulateur ; je me couche sur le flanc en position « fœtale », l’endroit étant encore très étroit. C’est à ce moment que je me rends compte que je suis sur une « corniche » surplombant une pente quasi verticale de 150 m et parsemée de jolies tâches blanches de neiges dites «éternelles ».
Quelque centaines de mètres plus loin j’aperçois en contrebas le fameux « Trou de l’Aigle » : superbe paysage !
Zut et zut ! le ROS est très mauvais … que se passe-t-il ?
Je comprend immédiatement qu’ au vu de la configuration des lieux un des brins du dipôle touche une pierre ; je l’isole du sol avec un « essuie éponge » et …. ça marche, sauvé !
Entre 13H15 et 14H15 locales je contacterai 50 OM’s de France, Slovénie, République Tchèque, Allemagne, Belgique, Corse, … principalement sur la fréquence 7.138 (Kc) en mode LSB.
Vers 15H00 nous entamons la descente qui se déroulera au mieux : des dizaines de marmottes, vautours fauves, moines, chamois, un flore exceptionnelle dès 2700 m, un régal pour les yeux, l’esprit et l’ensemble procure une paix intérieure indescriptible.
SOTA juillet 2011 d’ON7ZC Pierre.
Le SOTA suivant sera rapidement décidé et prévu pour le jeudi 14 juillet : le sommet du Mont Pelat à 3051 m : référence F/AM-079 et rapportant 10 points.
Contrairement à la montagne de Cordoeil qui était une « première », trois OM’s français ont à ce jour activé ce sommet.
Cette fois mon épouse Véronique m’accompagnera.
Départ en voiture du camping vers 08H00 en direction du Lac d’Allos à 2100 m d’altitude.
La voiture sera stationnée sur le parking e la cabane forestière du lac.
Dénivelé prévu : 950 m, soit +- 3H30 d’ascension.
Le début de la randonnée est assez aisé à travers une partie du magnifique et grandiose Parc du Mercantour. La deuxième moitié s’avère plus difficile de par la déclivité et très exposée au soleil … nous sommes partis un peu tard !
Heureusement la température descend au fur et à mesure que nous montons et un léger vent rais nous fait du bien.
Chacun son rythme de marche, c’est la règle ! J’atteindrai le sommet vers 12H30 et Véronique m’y rejoint 15 minutes plus tard : bravo Véro !!
Environ 10 randonneurs avaient déjà atteint le sommet et s’alimentaient assis mais de façon inconfortable : en effet le sommet réel (3051 m) est très étroit, +ou- 10 m de long sur 1 m de large… il et donc impossible de planter un dipôle de 2 X 10 m ! De plus d’autres randonneurs pouvaient encore arriver.
Avec le mât (replié) de 1,5 m « planté » verticalement dans le sac à dos j’avais vraiment l’air d’un extra-terrestre au sommet du Pelat ! … Les questions des randonneurs fusent … je tente d’y répondre, je perds du temps, je dois me décider, j’ai faim je dois manger.
Impossible de manger assis, trop étroit, je dépose le sac à dos, veille à ne rien laisser « tomber » dans les pentes à 60 degrés de part et d’autre du « perchoir ».
J’engouffre rapidement quelques « barres énergétiques » accompagné de Véro, elle aussi debout.
Je photographie mon GPS de poignet indiquant 3051 m, mais je choisis le mauvais écran et oublie d’afficher les coordonnées du lieu… Tant pis !)
Je prendrai la décision d’installer le dipôle et la station 20 m en contrebas du « perchoir » afin de ne gêner personne et ne pas mettre en péril la sécurité des randonneurs atteignant le sommet.
Je parviendrai non sans mal à planter le mât dans un « Kern », sans utiliser les 2 petits haubans prévus : tant mieux c’est déjà assez périlleux !!
J’installe le TX, les Lipo’s t le régulateur ; je me couche sur le flanc en position « fœtale », l’endroit étant encore très étroit. C’est à ce moment que je me rends compte que je suis sur une « corniche » surplombant une pente quasi verticale de 150 m et parsemée de jolies tâches blanches de neiges dites «éternelles ».
Quelque centaines de mètres plus loin j’aperçois en contrebas le fameux « Trou de l’Aigle » : superbe paysage !
Zut et zut ! le ROS est très mauvais … que se passe-t-il ?
Je comprend immédiatement qu’ au vu de la configuration des lieux un des brins du dipôle touche une pierre ; je l’isole du sol avec un « essuie éponge » et …. ça marche, sauvé !
Entre 13H15 et 14H15 locales je contacterai 50 OM’s de France, Slovénie, République Tchèque, Allemagne, Belgique, Corse, … principalement sur la fréquence 7.138 (Kc) en mode LSB.
Vers 15H00 nous entamons la descente qui se déroulera au mieux : des dizaines de marmottes, vautours fauves, moines, chamois, un flore exceptionnelle dès 2700 m, un régal pour les yeux, l’esprit et l’ensemble procure une paix intérieure indescriptible.Amicalement et 73.
Pierre ON7ZC
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